Le pain de la captivité
et le sang de Bête
Thimothée 6 :10
Car l’amour de l’argent est la racine de tous les maux
Ainsi l’homme s'enrichit de biens et de richesses futiles et séduisantes, pensant ainsi détenir les plus grands trésors alors que le seul trésor qu'il se doit d'obtenir est le royaume de Dieu.
Et ainsi l’homme a converti le blé en argent, l’eau en argent, l'huile et le parfum en argent et toutes choses que Dieu donnait gratuitement.
Celui
qui aime l’argent n’est pas rassasié par l’argent, et celui qui aime
les richesses n’en profite pas. C’est encore là une vanité. Ecclésiaste
5:10
Le « pain de la captivité » ne rassasie pas, mais le pain de la vie rassasie l’âme des justes.
Car c'est bien là le « pain de la captivité » que Satan est venu offrir aux hommes en toute jouissance. Leur accordant que tous bienfaits et tout bonheur auxquels ils disposeraient seraient issu de lui.
Proverbes 30.8/9 Éloigne de moi la fausseté et la parole mensongère;
Ne me donne ni pauvreté, ni richesse, Accorde-moi le pain qui m’est nécessaire.
Ne me donne ni pauvreté, ni richesse, Accorde-moi le pain qui m’est nécessaire.
La nécessité de l'âme est d'écouter la parole de la vérité, et non la parole du mensonge.
Et de se nourrir de la vie et non de la mort
Et
nul ne pourra acheter ou vendre, s'il ne porte la marque, le nom de la
bête ou le chiffre de son nom. C'est le moment d'avoir du discernement :
celui qui a de l'intelligence, qu'il interprète le chiffre de la bête,
car c'est un chiffre d'homme
Apocalypse de Jean
Pour que l'homme porte la marque de la bête, nul besoin de micro-puce comme l'évoque certains sur le web.
Car chaque fois que l’homme pense à l’avidité ou la cupidité il marque son front par l’esprit de sa propre pensée.
Car chaque fois que l’homme pense à l’avidité ou la cupidité il marque son front par l’esprit de sa propre pensée.
Chaque
fois que l’homme donne ou prend l’argent de sa main par avidité ou
cupidité il marque par l’action de son esprit la main de son corps.
Et tout est acquis à qui recevra selon les œuvres de ses actes et de son Esprit.
Ceux qui appartiennent aux actes et œuvres de l’Esprit du Père de Vérité, seront marqués du sceau de leur Rédemption.
Ceux qui appartiennent aux actes et œuvre du père du mensonge seront marqués du sceau de la bête.
Et la bête régnait sur le monde mais le monde ne l’avait pas encore vu.
Et la bête régnait sur l’esprit des hommes mais les hommes ne l’avait pas encore vu.
Alors ils attendaient scrutant les cieux, les signes et les tempêtes pour voir ce qui avait été annoncé en leur temps.
Mais le temps de l’homme n’est pas le temps de Dieu et ainsi était l'Avènement de Dieu.
Et la moisson était au temps de Dieu ce que les hommes avait semé en leur temps.
Et la moisson était au temps de Dieu ce que les hommes avait semé en leur temps.
Et chacun avait choisi la voie qui séparait les justes de l'ivraie.
Ce n'est pas Dieu qui placera l'homme à sa droite ou à sa gauche.
C'est l'homme qui place son cœur dans la droiture et la justice des œuvres de Dieu.
Vous
choisissez d'ores et déjà votre camp et le devenir de vos âmes à
l'instant même où vous lisez ces lignes, vous avez déjà choisi votre
camp.
Si vous êtes pieux croyant, chrétien et pratiquant et si vous vous sentez prisonnier dans votre vie par le « pain de la captivité »
offert par le père du mensonge, alors prenez ce temps que Dieu vous a
accordé avec empressement, car vous êtes malheureusement dans le
mauvais camp.
Deux se reposeront sur lit, l'un vivra, l'autre mourra dit Jésus
A chacun selon les œuvres de son cœur qu'il soit juste et bon et profitable pour Dieu et votre âme peut se réjouir.
Le sang du semeur retournera au sang du moissonneur, celui qui moissonne se réjouit de sa moisson.
Le « pain de la captivité » c’est la nourriture du père du mensonge : la mort éternelle.
Le pain de vie, la Parole, c’est la nourriture du Père de Vérité : la vie éternelle.
Que ceux qui ont des oreilles entendent bien ces paroles
Ainsi
les flux financiers ont coulé abondamment dans le corps du monde,
irriguant les âmes des puissants et des souverains, maintenant les
enfants du monde dans la captivité.
Et
ce sang putride, le sang de la bête, était celui du mal où naissait
toutes les racines de la cupidité, de la perversion, de la corruption et
de l'adoration abominable. Ainsi la bête abreuva ses fidèles, buvant
leur coupe jusqu'à la lie. Et la lie ne tarissait pas l'abomination, ni
la satisfaction des plus grandes richesses, et le monde était devenu le
corps vivant de l'apoplexie finale.
La corruption spirituelle et la pire maladie de l'âme.
Rien ne peut la guérir pas même le Fils de l'homme, elle est comme une gangrène sur un corps empoisonné.
Rien ne peut la guérir pas même le Fils de l'homme, elle est comme une gangrène sur un corps empoisonné.
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